Ou les cousins font connaissance et la bleusaille Torontonienne apprend a apprecier la plage…
1) Les cousins.
Les cousins ne furent pas farouches, et, tandis que Margot s’emerveillait de la poupee vivante qu’est Lucien, les deux aines se sont entendus comme larrons en foire…
Et que je te mange mieux que le voisin…
Et que je te copie tout ce que fait l’autre…
Du coup ils n’auront jamais autant marche, puisqu’il suffit d’en motiver un pour que l’autre le suive au galop! Pratique.
2) La plage.
Alors la plage, on ne va pas se mentir, il y fit froid, ventu et pas-baignable. Sauf pour Margot qui se precipita dans les vagues sans hesiter. Augustin, lui, trempa un arpion timide sous la menace, avant de s’enfuir devant les vaguelettes (parce que bon, ca mouille). Oui, lopette, oui.
En revanche, il se montrera d’une patience a toute epreuve dans la recherche de coquillages, le batissage de forteresse sableuse, et autres joyeusetes du genre. Du moment qu’elles ne requierent pas de s’approcher de l’eau.
Exemple de collaboration cousinesque:
Lulu, lui, contemple.
Le sable? Hum, ca ne se mange pas…
3) Le petit train de Saint Trojan.
Quand il pleut trop, il faut de l’imagination. Momie n’en manque pas. Meme sous la pluie, un train, c’est un train.
4) La grosse machine bleue.
Visite du port de La Cotiniere et de son chantier naval. La grosse machine bleue fait son petit effet, a tel point qu’Augustin en revera deux nuits de suite… Il faut dire qu’elle est grande… Rien que la roue, deja…
Mais ce n’est pas la seule chose a voir et, entre chalutiers, cordages, helices, mouettes… il est difficile de decider ou donner de la tete…
A la plage, l’exemple de maman plongeant dans les vagues peut encourager….!
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Apparemment pas… Même jusqu’à mi-cuisses dans l’eau !
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Eau froide, météo “humide”, rien n’y a fait… Nous avons savouré tous ces moments avec gourmandise, persuadés que nous avions beaucoup de chance!
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